On ne compte plus les écrivains qui mélangent allègrement les genres en devenant chroniqueur et mieux (pire ?) : critique littéraire. C’est au tour de la romancière Christine Angot d’enfiler la casquette en rejoignant l’équipe de Campus en tant que chroniqueuse à partir du 20 janvier.
Rappelons que Christine Angot a publié une dizaine de romans, nouvelles et pièces de théâtre. Elle est notamment l’auteur de L’inceste (1999), Quitter la ville (2000), Pourquoi le Brésil ? (2002) et plus récemment Les désaxés et Une partie du coeur publiés chez Stock. Passée maîtresse dans le genre de l’auto-fiction, l’auteur aime décrire les mécanismes de l’être humain : la peur de s’engager, la difficulté de communiquer et de savoir vivre.
Quel visage aura Angot chroniqueuse, elle qui a su si bien sonder les méandres de son « moi », saura t’elle aussi bien révéler celui des autres ?
Verdict le 20 janvier.
Source : Le blog de Campus
4 Commentaires
Passer au formulaire de commentaire
Cette Christine Angot est nulle. Psycho-rigide, elle brasse des lieux communs, ou bien des jugements rapides, souvent secs et négatifs, sur les oeuvres et les humains. Il ne reste rien après ses interventions, on attend simplement qu’elle ait enfin terminé son speech laborieux, en comptant le nombre de fois où elle consulte son bristol parce que -Enfer ! – la discussion l’emporte loin du plan établi qu’elle avait projeté de développer. Mais comme elle n’a pas pas peur du ridicule et que visiblement les débats ne sont pas faits pour elle, elle revient péniblement à sa petite fiche pour finir de nous assommer, ne craignant pas d’être in fine vraiment hors-sujet. On passe sur les citations d’auteur dont elle est prodigue :elle les lit avec la voix hésitante d’une élève d’école élémentaire qui ne comprend rien à l’exposé qu’elle est en train de tricoter devant la classe et qui ennuie tout le monde.
Guillaume, please, un peu de pitié pour les téléspectateurs.
Je n’ai pas vu sa prestation mais que pensez vous de la chroniqueuse Jessica Nelson ? Je crois qu’elle a le vent en poupe ces derniers temps.
Jessica L. Nelson est choniqueuse sur Vol de nuit et non Campus 😉
Merci de votre feedback même corrosif sur Christine Angot.
D’autres opinions ? Il y a aujourd’hui peu de chroniqueurs littéraires véritablement convaicants, tout du moins en TV. Ils sont déjà plus intéressants en radio.
Je n’accroche pas au style d’Angot ni en livre ni en chroniqueuse avec ses idées définitives sur la littérature et sa façon de tout (trop) intérioriser. La dernière fois, lors de sa chronique sur Margueritte Duras, j’ai carrément piqué du nez. Désolée.