Le 13 octobre dernier, l’auteur « best-selleuse » Amélie Nothomb faisait une escale à la Fnac des Ternes (Paris) pour se livrer à l’exercice rituel et ô combien attendu de ses (nombreux) admirateurs de la dédicace (elle s’était déjà précédemment prêtée à l’exercice au Virgin en août dernier en signant de 18h à minuit !). Elle a ensuite accordé un long entretien au journaliste littéraire venu l’interviewer et répondu aux nombreuses questions du public. Souriante, attentive, décontractée (bien loin des tics nerveux qu’elle peut avoir en plateau TV par exemple), disponible et malicieuse, elle a offert un moment de complicité et de partage drôle et riche à son auditoire conquis (dont certains sont des habitués qu’elle (re)connaît et avec qui elle correspond parfois). Jamais avare de quelques déclarations inattendues, décalées et autres petites excentricités qui font tout son charme et ravissent ses lecteurs fascinés aussi bien par l’auteur que le « personnage nothombien » ! Parmi ces dernières, elle s’est expliquée sur l’odeur du goudron qu’affectionne le héros (Urbain) de son dernier roman « Journal d’hirondelle « … Un détail qui ne doit rien au hasard :
Voir aussi: la vidéo de l’entretien complet (analyse de son dernier roman Journal d’hirondelle, son héros (un tueur à gages), sa conception de l’écriture ou encore ces précédents romans…) donné par Amélie Nothomb dans la rubrique Buzz+.
Merci de votre soutien et bonne écoute !
« En vérité, on passe son temps à lutter contre la terreur du vivant. On s’invente des définitions pour y échapper : je m’appelle machin, je bosse chez chose, mon métier consiste à faire ci et ça… » (extrait d’Histoire d’hirondelle)
2 Commentaires
j’ai été très deçue par journal d’hirondelle et aussi par l’avant dernier d’amelie nothomb acide sulfurique.
J’aime beaucoup les oeuvres de cet auteur. J’achète chaque ouvrage à sa sortie. Malgré mon admiration pour le travail de Mademoiselle Nothomb, je dois dire que je n’ai pas été aussi emballée par Journal D’Hirondelle que par ses précédants livres. Pourquoi ? Et bien, une impression de déjà lu essentiellement. Le style est toujours aussi bon à mes yeux mais ce petit sentiment de répétition gâche un peu la lecture.