Le magazine Lire nous annonce la parution d’un premier roman « Les femmes préfèrent les monstres » d’une certaine Delphine Vallette, 40 ans. Un nom qui nous rappelle la dédicace en forme d’haïku, du recueil de « Nouvelles sous ecstasy » : « Pour Delphine / Nom de famille Vallette / Qui vit rue Mazarine / Au numéro trente-sept » de l’écrivain.
Après sa cousine (Géraldine) c’est donc au tour de l’ex femme de l’auteur de 99 francs, de prendre la plume.
Annoncé pour le 3 mars aux éditions Léo Scheer (qui publiait précédemment une bio de Frédéric Beigbeder basée sur un long entretien avec Angie David, illustration ci-contre), le livre (couverture ci-contre) n’aurait rien du règlement de comptes, mais il est quand même question de lui et de ses Berluti, la narratrice évoquant dans le détail sa vie avec « mon écrivain ». On en apprend notamment qu’il conçoit difficilement d’être concurrencé : « On ne peut pas être deux à écrire »… (source : le magazine Lire)
Présentation de l’éditeur (rappelant le livre « Dans ces bras là » de Camille Laurens sur le principe) : En neuf chapitres et autant de portraits, la narratrice de ce roman plein d’humour évoque par le menu sa vie d’amoureuse, de l’enfance à l’âge adulte. De son père au fils de son nouveau compagnon, en passant par son « ex », par le meilleur ami de son mari, par son copain chirurgien esthétique et par son gynécologue, elle dresse un état des lieux cocasse, touchant et un peu « vachard » de ceux avec qui, elle le concède, les rapports sont toujours faussés. En filigrane, se dessine le visage d’une jeune femme d’aujourd’hui qui finit par s’avouer que c’est, malgré tout, vers les hommes qui lui en font voir de toutes les couleurs que son cœur penche toujours.
Mise a jour mai 2014
« Beaucoup de gens m’ont parlé de ce premier roman comme d’une « thérapie », il est clair qu’il m’a permis de dire des choses que je n’arrivais pas à formuler autrement. Il a d’ailleurs déclenché un ouragan autour de moi. Certains hommes de mon entourage l’ont très mal pris. En revanche j’ai eu des témoignages très touchants de la part des femmes qui ont lu mon roman. Ce qui fait très plaisir ce sont ces lecteurs que vous ne connaissez pas, qui vous adressent des messages chaleureux et qui vous comprennent mieux que vos proches. » (source: Spanky Few)
A lire aussi : Lire la réaction de Frédéric Beigbeder sur la publication de cet ouvrage (avril 2008)
La chronique du roman 99 francs / 14,99 € de Frédéric Beigbeder ou l’homme qui ne voulait plus vendre son âme…
Extrait choisi de « 99 francs » (14,99€): L’ennui est il le vrai hédonisme ?
La chronique du roman « L’amour dure trois ans », Anti-traité de l’amour moderne… « Flirting with disaster »…
Critique d’Un roman français de Frédéric Beigbeder, préfacé par Michel Houellebecq
« Premier bilan après l’apocalypse » : Où je juge les jugements littéraires de Frédéric Beigbeder
23 Commentaires
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A quand un livre écrit par un ex de Carla Bruni?
Je ne crois pas que tout le bouquin soit consacré à Beigbeder. Je pense même qu’il n’y a que le passage cité ci-dessus.
leo sheer a aussi publié l’ex de jamel debbouze, wrath en a parlé
wrath.typepad.com/wrath/2…
Marguerite Duras a dit : la pire chose qu’une femme puisse faire à un homme, c’est un livre.
Comme vous le rappelez : je "publiais précédemment, et sans que cela ne semble me gêner, une bio de Frédéric Beigbeder basée sur un long entretien avec Angie David". Je vous le confirme, et je pense que ce premier livre de la collection "Écrivains d’aujourd’hui" ainsi que le long entretien publié dans La Revue Littéraire témoignent de l’estime que j’ai pour lui et pour son oeuvre. C’est bien pour quoi je ne suis en rien gêné de publier dans la collection Melville, dirigée par Mathieu Térence, l’excellent premier roman de Delphine Vallette, que je vous recommande de lire pour constater à quel point il serait injuste de ne la ramener qu’à ce statut "d’ex". Elle y démontre qu’il vaut mieux l’envisager au futur, celui d’un écrivain. Je dirais la même chose de Saphia Azzeddine, dont plus personne, depuis qu’on a pu lire son livre n’évoque autre chose que son talent. Vous parlez de "ragots" dans votre titre, mais n’êtes vous pas le premier à les colporter. Attendez d’avoir lu pour en juger. Bien à vous. Léo Scheer
A première vue, je ne comprend pas trop l’intérêt de ce livre. D’ailleurs c’est vachement vendeur de parler de la vie de Frédéric Beigbederer etc..et qui plus est grâce à la plume de son ex-femme, le simple fait de mentionner cela suffira à en vendre suffisamment et à créer un buzz autour du livre, joli argument publicitaire, la preuve vous en parlez. Si son ex-homme s’était appelé Hubert Martin, y’aurait-il eu un livre ? Aurait-il été édité ?
Quelques questions que l’on peut se poser parmi tant d’autres.
Si le livre était mauvais, je ne juge pas de sa qualité, j’ai mis un si, pourrait-on voir cela comme un manque de respect envers les acheteurs que d’avoir écrit une "daube raccoleuse" en échange de votre argent si durement gagné (pour ne pas dire en un mot arnaque) ? Tout en sachant évidemment à l’avance qu’il fera parler de lui, si mauvais soit-il, si mauvais serait-t-il, plutôt, pardon !
Voilà, pour ma part, je lirai les critiques dudit livre pour avoir un aperçu de sa qualité. Hélas j’ai bien peur que tout cela ne soit que prétexte à vendre, vendre encore et encore au détriment autant de la littérature que du lecteur, c’est devenu monnaie courante. Hé bien, que le contraire me soit prouvé, faites que j’ai tort, je ne demande qu’à voir, critiques, à vos stylos !
Hum, allez si le livre est pourri, ne vous inquiétez pas, vous en vendrez bien plus que ces foutus (ironie) écrivains talentueux 😉 . Et puis les livres qui se vendent le plus, c’est souvent ceux qui ont le plus bel "emballage", je ne parlerai pas du contenu qu’on se le dise, car je risquerai de dépasser ces soi-disants livres, et il serait fort dommage que la critique soit "meilleure" que le livre.
Sésame. (faites le taire ! C’est fait…ouf de soulagement)
Je n’avais pas lu le commentaire de Léo Scherrer qui est venu s’intercaler pendant l’écriture de mon com. J’ai écorché le nom de Frédéric Beigbeder, désolé,je rectifie. Et puis, allez au passage, il n’est pas un peu tôt pour écrire une biographie sur Frédéric Beigbeder, non ? Ah oui, il faut surfer sur le succès de l’écrivain. N’est-ce pas ? Je me casse car je pourrai devenir méchant et j’en ai nullement envie. Toute vérité vaut plus que toutes les opinions. A bon entendeur. Je me casse. Tchao.
Sésame.
MDR ! Sincérement désolé, Léo Scheer, j’ai un peu de mal avec les noms là, la fatigue aidant. On dit faute avouée à moitié pardonnée, deux fois la même faute avouée, beh faute complétement pardonnée, je m’en sors bien 🙂
A bientôt.
Sésame.
PTDR, c’est fait exprès ou quoi, la question anti-spam pour ce com est d’écrire le nom de famille de Michel Houellebecq, trop fort.THE END.
@Sésame. Ce n’est pas grave d’égratigner mon nom, mon cher Sésame, il n’est pas facile à retenir, et il y a ce couturier célèbre…Vous vous demandez "s’il n’est pas un peu tôt pour écrire une biographie sur F.B.", ce qui semble vous agacer beaucoup. En fait, si vous vous donnez la peine de regarder de plus près, ce n’est pas une biographie mais une analyse des livres déjà publiés par cet auteur, les éléments biographiques ne sont pas inutiles car la part d’auto-fiction n’est pas négligeable chez les "écrivains d’aujourd’hui" (c’est le titre de la collection).
Mais pour revenir à nos moutons, vous dites "A première vue, je ne comprends pas trop l’intérêt de ce livre", ça, ça m’épate! C’est quoi, cette "première vue"? Qu’est-ce que vous avez vu pour en déduire que ce livre, que je publie, n’aurait pas d’intérêt? De quoi s’agit-il? D’un préjugé défavorable? Il faudrait que Delphine Vallette s’interdise de publier des romans parce qu’elle est une ex de Beigbeder? Je cherche des exemples dans l’histoire, il aurait fallu interdire à Camille Claudel de devenir sculpteur à cause de Rodin? Expliquez moi tout ça.
@Léo Scheer. Oui, en ce qui concerne l’analyse des livres de l’auteur, c’est en effet une bonne chose qui peut s’écrire à n’importe quel moment, je contredis mes propos précédents mais force est de constater que vous avez raison sur ce sujet là et plutôt que de défendre obstinément l’indéfendable, j’irai dans le même sens que vous.
Oui, pour revenir à nos moutons, vous posez les bonnes questions et je répondrai dans un premier temps par celle-ci, pourquoi justement le lecteur commun que je suis a des à-prioris ? C’est là le hic, comment voulez-vous que nous lecteurs puissions faire la différence entre un livre racontant des "ragots", des historiettes à la noix de stars etc..et un livre honnête dont le contenu prévaut sur sa mise en scène. Ce à quoi on peut rétorquer, avant de critiquer, le plus sage serait de lire les critiques ou le livre, c’est juste mais insuffisant. Insuffisant car je ne considère pas que tous les lecteurs soient des lecteurs avertis et la simple évocation d’un nom de star, de personnages télés suffisent à ce qu’ils courent s’acheter le livre, ils en font les frais, c’est un piège à "couillons", et dans le mot piège, l’intention est omniprésente, tout est fait en connaissance de cause. Je déplore aussi que s’il s’avérait que le livre de Delphine Valette soit un livre respectable, il est évidemment victime de mes à-prioris et de ceux des autres car il faut bien le reconnaître, il existe des maisons d’édition capables du meilleur comme du pire et être suspicieux, douteux est une suite logique, son livre ferait les frais non pas des à-prioris mais de cette propension à sortir des bouquins ayant pour argument de vente le nom d’une célébrité placé judicieusement. Attention, je n’ai pas dit toutes les maisons d’édition.
Maintenant, Delphine Valette écrit ce qu’elle veut, pourvu qu’elle le fasse bien, elle subira outrageusement aussi les critiques qui s’acharneront sur elle car elle était une ex de Beigbeder et même si le livre est de bonne facture, elle sera jugé sur cela à tort. Où est l’objectivité là-dedans ? Chacun peut écrire ce qu’il veut, tous les cas de figure existent, plus ou bien moins réussis, tout est une question de démarche ensuite. J’espère pour elle qu’elle fera taire les critiques si le livre n’est pas un "attrape-couillons" et que le livre sera reconnu à sa juste valeur, c’est tout le mal que je lui souhaite. Ces à-prioris et critiques blessantes subjectives sont légion, et d’un côté, ils font le bonheur et le malheur d’un livre, le bonheur car ce qui est contesté se vend bien car on en parle, ils ne tombent pas dans l’indifférence générale et le malheur car ils cautérisent le livre avant même sa mise sur le marché.
Je n’entrerai pas dans d’autres débats qui est de me demander par exemple quelle est la réelle volonté et démarche de l’écrivain de parler de sa relation avec F. Beigbeder entre autres dans un premier roman ou est-ce que cela a été un élément déterminant pour qu’il soit édité ? Ce sont des questions auquelles on est en droit de se poser et que bon nombre d’entre nous se posons à voix basse. De toute façon, si le talent est là, il devra batailler dur car il sera chahuté par les mauvaises langues et c’est le revers de la médaille, de payer à cause du capitalisme sur-jacent des trop nombreuses maisons d’éditions qui vendent l’image et non les mots.
« Ne prenez pas les gens pour des cons, mais n’oubliez jamais qu’ils le sont ! » de F. Beigbeder, souhaitons bien entendu que ce livre nous prouve le contraire.
Sur-ce je vous laisse mon cher Léo Scheer. Bien à vous.
Sésame.
P.S : Blague à part, mais qui peut bien être ce Rondin ? Inconnu au bataillon ^^ .
Monsier Léo Sheer serait-il un agneau si naIf et si innocent qu’il n’aurait jamais pensé un seul instant que la’auteur Valette, ex de l’ultra médiatique Bégbédé, n’attirerait pas l’attention, par son statut justement d’ex ?
Ferez-vous croire que vous ne comptez pas récupérer (au moins) un pan du lectorat bien dodu de l’ex mari, en aiguisant la curiosité des fans (je ne trouve pas d’autres mots) avides de détails sur la vie de celui qui s’affiche déjà dans Voici ?
Mr Sheer, si ce n’est pas du coup marketing ça !
@Sésame. Bon, là on peut commencer à discuter. L’à-priori dont vous parlez se fonde sur le comportement de certains éditeurs, et c’est ce comportement que vous dénoncez. Permettez moi de vous proposer un test : j’ai créé ma maison d’édition en 2000 et vous trouverez sur mon site le catalogue des 500 ouvrages que j’ai publié. Je vous mets au défi d’en trouver un seul qui ressemble aux "attrape-couillons" dont vous parlez. Si vous faites un procès d’intention à un éditeur, ne vous semble-t-il pas juste d’instruire, pour le moins, ce procès. Sur quoi vous appuyez vous pour me soupçonner de participer à cette "propension à sortir des bouquins ayant pour argument de vente le nom d’une célébrité placé judicieusement"? Si c’est parce que vous ignorez complètement mon catalogue, je trouve ça léger, mais si en plus vous le connaissez un peu, je trouve ça plus grave et je m’interroge sur votre motivation à venir dénigrer à priori un livre que je publie, en insinuant que je le fais pour de mauvaises raisons et que je cherche à abuser de la crédulité des clients des librairies en leur vendant un mauvais livre uniquement sur la notoriété de Beigbeder et sur le parfum de ragots qui entoure les récits de son "ex". Pour ce qui est de Delphine Vallette, je réitère ma question : si je trouve que son livre est bon, aurais-je du lui dire : "je ne peux pas le prendre parce qu’on va dire que vous êtes l’ex de F.B. et que je vous publie que pour ça? J’aime beaucoup votre livre, mais il va faire courir un risque à l’image de ma maison." Mon cher Sésame, je me serais détesté si je lui avais dit ça. Contrairement à la phrase que vous citez de F.B., je ne prends pas les gens pour des cons et j’essaie de ne jamais oublier qu’il ne le sont pas, mais il est vrai que parfois, j’ai du mal.
@le miraculé. La réponse à toutes vos questions est : non, sauf à la première sur ma naïveté, c’est : peut-être. Je ne vois pas pourquoi Delphine Vallette aurait du prendre un pseudo, c’est un livre qu’elle écrit, pas des idioties sur internet.
@Léo Sheer. Bien bien. Il fallait s’arrêter à cette phrase : "L’à-priori dont vous parlez se fonde sur le comportement de certains éditeurs, et c’est ce comportement que vous dénoncez". Pour le reste, je vous recommande de chercher la signification du mot si employé à maintes reprises et je vous engage à relire et relire mon commentaire. A quoi ça sert d’élever un débat si c’est pour que vous le rameniez à sa plus simple expression. Il est interdit d’être circonspect au sujet d’un livre et de se poser quelques questions ? C’est nouveau ça. Ai-je dénigré le livre ? Pas que je m’en souvienne…ou sinon je me suis ravisé dans le second com. Je me pose des questions que tout le monde se pose, et vous le savez pertinemment que ces questions seraient mises tôt ou tard sur le tapis, c’est dans l’ordre des choses. Et je vous offre la possibilité d’y répondre pour éclairer notre lanterne grâce à ce site.
Tant mieux si ce livre est bon, je répète haut et fort, je ne demande qu’à voir pour gommer mes à-prioris et ceux des internautes qui écrivent des idioties sur internet…S’il est vraiment mauvais et n’est qu’un coup marketing, vous pourrez ne vous en prendre qu’à vous-mêmes et perderiez toute crédibilité au sujet de cette polémique. S’il est bon, ce que je souhaite pour l’auteure Delphine Vallette, je me serai juste trompé comme beaucoup de monde et point barre. D’ailleurs, je mets en lumière une généralité sur la façon de faire de certaines maisons d’édition et vous en tirez profit pour vous victimiser de manière à m’accabler, ça ne m’amuse guère, c’est habile certes mais on ne me la fait pas. Il est bien mentionné : "Attention, je n’ai pas dit toutes les maisons d’édition" et puis je n’attaque pas directement votre maison d’édition, je ne la connais que trop peu et l’emploi du si, des à-prioris etc…est une forme d’expression, cela ne reflète en rien la vérité, ok. Vous me feriez porter le chapeau d’un jugement que je ne donne pas ? J’attendais un peu mieux comme réponse, m’enfin comme dirait Gaston. Préfèreriez-vous que je dise instamment sans coup férir que votre maison d’édition publie des "attrape-couillons", que j’emploie le ton de l’affirmation alors que je ne sais rien, s’il y’a une leçon à retirer de tout cela, c’est que avoir des doutes sur…penser que peut-être ce serait comme ça est pire que dire des idioties sur internet.
"Si je trouve que son livre est bon, aurais-je dû lui dire : "je ne peux pas le prendre parce qu’on va dire que vous êtes l’ex de F.B. et que je vous publie que pour ça ? J’aime beaucoup votre livre, mais il va faire courir un risque à l’image de ma maison." . Entièrement d’accord avec vous, aucun problème là-dessus.
Si les à-prioris sont faux, c’est tout à votre honneur et devrions-nous nous taire car ces questions là, elles lui seront posées par des gens bien plus compétents que nous internautes idiots, j’entends par là, des critiques, la presse littéraire etc…Le miraculé et moi ne faisons que devancer ce qui arrivera en se posant quelques questions dérangeantes et sensées planqués lâchement derrière nos pseudos 😉 . Il est pourtant assez coutumier du fait que les écrivains prennent un pseudo, non ?
Il y’a un pas que je n’ai pas voulu franchir, vous l’avez fait avec maladresse, pour corroborez vos propos, oui vous avez du mal. Raisonnement logique n°1 : Mr X publie livre pourri par pub grâce à star Y entraînerait (conditionnel) : les lecteurs ont été pris pour des cons. Et raisonnement n°2 : Mr X publie livre bien malgré pub aidant entraînerait (conditionnel) lecteurs pas pris pour con. Elémentaire mon cher Léo Sheer.
Vous défendez le livre et vous par la même occasion, ce qui est somme toute normal, je le comprends parfaitement mais seriez vous aussi indulgents face à des journalistes, des gens du métier face à vous, devant des caméras ? Ou vous contenteriez-vous de sourire, de ce sourire qui voudrait (conditionnel) dire toi t’es un … et un ….. !
Sésame.
P.S : c’est mon dernier com à ce sujet. Il n’y aura aucune autre réponse de ma part.
la naiveté…c’était donc ça…
@Sésame. Un autre com serait effectivement superflu, à mon avis, celui ci est un CQFD.
> L.Scheer : Merci de vos précisions. Rappelons que ce billet relaie les infos de l’article du magazine Lire.
Sur le fond de ce débat, je crois que le boom de la « littérature people » (et en particulier des « ex de ») éveille en effet les méfiances et les craintes…
Il est vrai que l’usage d’un pseudo est assez courant dans ces cas là.
Sur le même thème (une femme racontant ses relations avec les hommes), je recommande, à tous qui passez sur ce billet, le premier recueil d’une jeune auteur (et blogueuse qui « n’écrit pas d’idioties sur Internet ») : Nathalie Cachin, qui vient d’être publiée aux éditions « Le Bord de l’eau ».
http://www.buzz-litteraire.com/200801211077-nathalie-cachin-du-blog-de-la-parisienne-a-l-edition/
Bonjoru à tous et en particulier à Alexandra et Léo Scheer.
Je vais, SANS AUCUN A PRIORI, acheter le livre de Delphine Valette et le lire attentivement.
Je lis quasiment tous les auteurs de la production Léo Scheer, je n’ai jamais été déçue, ce n’est pas une littérature racolleuse. Lisons d’abord, jugeons après. Merci.
lo
Tiens ça pour le coup, c’est un VRAI ragot:
tempsreel.nouvelobs.com/a…
Il a replongé parcequil a pas supporté ce que son ex révèle dans son book ? :)))))
N’empêche, il ne manque plus qu’une autobiographie de Laura Smet sur son séjour à St Anne…
Et une chronique de son arrestation du début de semaine.
Je me suis précipitée sur le livre (flairant l’arnaque, mais intriguée quand même par l’ex de Beigbeder)Il faut dire que je trouve le Beigbeder souvent brillant et attachant. J’admire surtout en lui le très fin lecteur critique et, par surprise, l’auteur de formules lapidaires… Bref, je crois que Mr Léo Scheer, éditeur de talent, nous raconte n’importe quoi quand il parle du talent d’écrivain de l’ex. Hélas !… Aucune phrase à sauver : une pensée et un style inexistants ! Dans le même registre, je préfère "Voici"… Plus drôle, et qui ne se prend pas au sérieux. Ce n’est pas rendre service aux lecteurs, à la littérature et à Delphine V. que de la traiter d’écrivain. Un livre de plus ? Pourquoi pas. Tout le monde a bien le droit de s’exprimer et l’on n’est pas obligé d’acheter (même si j’en fais les frais !) mais ne mélangeons pas tout. Il y des "coups" d’édition – ou des tentatives – et la littérature. J’aime trop la seconde pour les confondre. Je ne pense même pas que ce livre puisse être un succès commercial.
Je suis entièrement d’accord avec toi. Le roman manque de style et la pensée est inexistante. Je l’ai lu et quel deception. Dans un autre registre j’ai lu le roman Sponsors de Géraldine Beigbeder ( le cousine de Frédéric) et là j’ai plutôt été emballée. On sort enfin du nombrilisme germano- pratin. C’est drôle, enlevée et brillant. Arrêtons de critiquer les filles et fils de ou les ex de. Il y a ceux qui ont du talent et ceux qui n’n ont pas. A quand le prochain Géraldine Beigbeder.
Modération Buzz littéraire : Merci de ne pas poster en doublon en utilisant des pseudos différents svp.