Comment l’inspiration vient à l’écrivain, comment les mots, les histoires se forment-ils d’abord dans « l’arriere chambre » cérébrale dont parlait joliment Richard Millet, c’est ce que capture, avec acuité, Jérôme Attal dans son journal en ligne:
« Même si écrire consiste beaucoup non pas tant à faire le geste d’écrire, que de penser à son écriture, ici et en mouvement, dans le métro, la ville, l’impatience ou le regret, le paradis perdu qu’on entrevoit au hasard d’une passante, que sais-je encore. » (Journal de Jérôme Attal – 30/06/2009)
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