Le café est souvent le carburant indispensable du travailleur tout au long de la journée. Les écrivains sont ainsi réputés pour être accrocs au précieux liquide, le plus célèbre étant peut-être Balzac, qui a ainsi pu écrire Le Père Goriot en 40 jours, une drogue néanmoins plus douce que les amphéts dont se bourrait K.Dick par exemple… Certaines professions sont toutefois plus consommatrices que d’autres. Palmarès :
Une étude américaine (par Dunkin’ Donuts et le site Career Builder) vient d’établir son nouveau classement des secteurs professionnels en fonction de leur consommation de café.
Parmi les vertus du café, on trouve, sans surprise, la productivité citée par 46% des travailleurs américains. L’étude révèle aussi que les professions juridiques et les salariés de l’hôtellerie préfèrent le café noir, tandis que les professeurs, les écrivains ou les journalistes sont plutôt adeptes du café aromatisé.
Le palmarès attribue la 4e place des plus gros buveurs de café aux écrivains (ainsi qu’aux journalistes et éditeurs de presse). Les littéraires cèdent la première place aux scientifiques, puis en second viennent les métiers du marketing et des relations publiques suivis par les métiers de l’enseignement. 
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