Amélie Nothomb aime à s’inspirer des contes pour les revisiter ou en réinventer dans une partie de ses romans qui aiment jouer avec les figures extrêmes (en particulier confrontation de la beauté pure angélique et de la laideur, le monstrueux), le symbolisme et les univers fantaisistes ou oniriques. Elle expliquait sa fascination pour le genre dont l’essor a pris en France dans la 2e moitié du XVIIe siècle, sous l’influence notamment des salons des précieuses (dont Mme de Villeneuve auteur de La belle et la bête faisait partie) :
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