Les premiers buzz de la rentrée littéraire de septembre 2011 se font entendre… Parmi eux, Marien Defalvard, son plus jeune auteur, commence à attirer l’attention par son âge précoce (il aurait commencé à écrire son volumineux roman de 1000 pages à l’âge de 16 ans) et sa prose romantique et précieuse, comparée à Radiguet. Ébloui par ce manuscrit d’un autre temps («Du temps qu’on existait») reçu par La Poste, Charles Dantzig, éditeur chez Grasset, a décidé de le publier :
Auteur : Marien Defalvard
« Du temps qu’on existait » de Marien Defalvard : « Toute ma vie, j’ai traversé des paysages intérieurs » PRIX DE FLORE 2011
Le bouche à oreille et la curiosité s’enflamment autour du benjamin de la rentrée littéraire 2011 : Marien Defalvard ayant écrit son premier roman à l’âge de 15 ans. Une oeuvre étonnante, folle, flamboyante qui semble jaillir d’un autre temps, au langage précieux et érudit et à l’exaltation romantique qui peuvent dérouter ou au contraire émerveiller. S’agit-il d’un cheminement spirituel, d’une réflexion purement métaphysique ? C’est un roman où la mort et la vie se donnent la main en permanence, au gré des rencontres, des situations où l’amour se faufile partout où il peut :
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