Dans « La délicatesse » de David Foenkinos, on trouve ce genre de réplique, « Markus pensa : ‘ C’est le plus beau lavage de mains de ma vie.’ et c’est ce qui fait aimer ses livres. Ce mélange de naïveté et d’humour qui enchante. Il participe à cette surprise permanente sentie à chaque lecture, à cette tendresse éprouvée pour les personnages dès son premier roman. Dans son dernier livre, La délicatesse, encore en lice pour le prix Interallié, on retrouve cette vivacité dans l’écriture, ce côté décalé qui nous fait parfois penser à Boris Vian. On se pose la question suivante : mais où va-t-il chercher tout ça ?…
Auteur : David Foenkinos
David Foenkinos se prépare à la rentrée littéraire avec « La délicatesse »
Sur son blog tenu sur Livres Hebdo, l’auteur toujours aussi prolifique commente la sortie de son nouveau roman « La délicatesse » à paraître lors de la prochaine rentrée littéraire de septembre : « (…) ces derniers temps, j’ai surtout été focalisé par l’entreprise de peaufinage de mon dernier roman. Au fond, c’est ce qui prend le plus …
Florian Zeller et David Foenkinos : la rentrée littéraire des romanciers … au théâtre ! (+ extraits)
Le premier est un habitué des planches. Le second frappe pour la première fois les trois coups (après s’être essayé au court-métrage « Une histoire de pieds » avec son frère, directeur de casting). Tous deux explorent le thème du couple, de l’amour, chacun dans leur registre. Tous deux sont publiés dans la nouvelle collection théâtre de Guillaume Robert (Flammarion). Deux auteurs, Florian Zeller (en répétition avec Lætitia Casta, à la une de « Point de vue », en photo ci-dessous) et David Foenkinos, un drame sur le mensonge amoureux, « Elle t’attend » (un peu chahuté dans les critiques presse néanmoins…) et une comédie dans sa veine loufoque habituelle, « Célibataires », pour un seul plaisir.
Interview de David Foenkinos (dernier roman : Qui se souvient de David Foenkinos ?), Salon du livre 5/6
Suite de nos entretiens avec les auteurs à l’occasion du Salon du livre 2008 avec un entretien éclair avec le sémillant David Foenkinos. Effervescence sur le stand Au Diable Vauvert, lors de la nocturne du 18 mars. Il est aux alentours de 20.00. C’est là que David Foenkinos m’a donné rendez vous pour répondre à mes questions. Même si l’auteur de « Qui se souvient de David Foenkinos ? » (son dernier et septième roman paru à la rentrée littéraire de septembre 2007, sorte d’anti-autobiographie sur le mode parodique, sa marque de fabrique, mais néanmoins plus grave que ses précédents opus, où il s’imagine en écrivain raté à 40 ans, retombé dans l’anonymat après un bref succès, et qui se lance dans la quête d’un nouvelle idée « en or » de roman, une quête du Graal à la fois surréaliste et absurde qui questionne la création littéraire, les caprices de l’inspiration mais aussi la fragilité du succès ou encore les affres existentiels de la quarantaine, la solitude affective sans oublier les femmes, toujours !… ) n’est pas publié chez l’éditeur à l’emblème fourchu, il a choisi de faire « table de dédicaces commune » avec ses confrères et camarades de la nouvelle génération littéraire : Nicolas Rey, Louis Lanher ou encore Julien Blanc-Gras. Stéphane Million de la revue Bordel (et qui vient de fonder sa propre maison d’édition qui porte son nom) est aussi passé rendre visite aux jeunes écrivains. Il nous parle de son actualité du moment ou encore de son expérience de blogueur littéraire sur Livres Hebdo… Un grand merci à lui pour sa disponibilité et sa gentillesse :
Les jeunes auteurs évoquent « l’héritage Sagan » (David Foenkinos, Christian Authier…)
Le magazine « Lire », dans le cadre de son numéro de février 2008 consacré à Françoise Sagan, a interrogé quelques écrivains contemporains sur l’influence de celle dont le succès a fait fantasmer des générations de jeunes auteurs…
Des nouvelles de Lolita Pille, Max Monnehay et citations de David Foenkinos et Nina Bouraoui… : Bloc-notes
Vous êtes nombreux à nous demander des nouvelles de votre Max Monnehay et de votre Lolita Pille ! Bonne nouvelle : les deux jeunes romancières ne chôment pas et préparent, toutes deux, de beaux projets. De son côté David Foenkinos livre un commentaire intéressant sur Michel Houellebecq dans le cadre d’un entretien accordé au magazine Transfuge tandis que Nina Bouraoui révèle son roman coup de coeur du moment, plutôt étonnant (« Il faut qu’on parle de Kévin » de Lionel Shriver)… Enfin, aujourd’hui sort la tant attendue (et a priori musclée !) adaptation ciné de « 99 francs » de Frédéric Beigbeder par Ian Kounen, qui bénéficie d’un très bon accueil critique jusqu’ici. Dur, dur de résister…
David Foenkinos tient son blog sur Livres hebdo
L’auteur de « Le Potentiel érotique de ma femme » ou plus récemment « Les coeurs autonomes » alias David Foenkinos, a été invité sur le site de Livres hebdo à tenir son blog, a priori depuis novembre 2006. Son but ? « Etre le Richard Virenque du blog » ! Au menu : humour, légèreté et badinage…
« Le potentiel érotique de ma femme » de David Foenkinos : le burlesque et l’imagination contre l’usure du désir
« Le potentiel érotique de ma femme », grand succès de David Foenkinos, récompensé par le prix Roger-Nimier, ce troisième roman, publié en 2004, aura été celui de sa révélation publique. Et pour cause, il parvient ici à maîtriser son style burlesque et lui donne enfin toute son ampleur. On y retrouve son univers familier peuplé de héros atypiques, aux névroses obsesionnelles inhabituelles, en proie à l’angoisse de la solitude… Il revisite ici les thèmes universels de la quête amoureuse, du couple et de l’usure du désir, sous un jour complètement inédit et ludique.
Florian Zeller et David Foenkinos : deux auteurs suractifs !
Parler de Florian Zeller juste après Nicolas Rey risque d’en faire rugir quelques-uns mais ravira ses lecteurs. Signalons donc par cette petite brève que le jeune auteur ne se repose pas sur ses lauriers. A venir : après le succès de ses deux pièces « Le Manège » et « l’Autre », une nouvelle pièce de théâtre « Si tu mourais »* dans laquelle jouera Catherine Frot entourée de Robin Renucci, Bruno Putzulu et Chloé Lambert, à la Comédie des Champs-Elysées sous la direction de Michel Fagadau. L’histoire d’une femme en deuil de son mari brutalement disparu, qui s’aperçoit qu’elle ne le connaissait pas vraiment, en revoyant son passé. « Florian Zeller, qui n’a qu’une trentaine d’années, fait un beau portrait de femme, à un moment où elle est un peu perdue », a confié Catherine Frot au Figaro Magazine. A la rentrée littéraire 2006, il publiera son quatrième roman qui devrait faire l’évènement aux côtés de celui de Christine Angot. De son côté le très prolixe David Foenkinos dont nous vous parlions à l’occasion de la sortie du recueil « Plumes et dentelles« , publie ce mois-ci un nouveau roman « Les cœurs autonomes », chez Grasset.
« Entre les oreilles » de David Foenkinos : un peu tiré par les oreilles…
Le facétieux David Foenkinos, aux influences allant de Queneau à Gombrowicz en passant par Albert Cohen, est renommé pour son univers loufoque où régne l’humour par l’absurde et en même temps une certaine détresse de personnages souvent en marge, obsessionnels, désemparés ou souffrant de solitude. Son deuxième roman « Entre les oreilles » paru en 2003 après « Inversion de l’idiotie » et juste avant son grand succès « Le potentiel érotique de ma femme » contient toute l’essence de son style si particulier et de ses histoires à tiroir où le rebondissement inattendu et surréaliste est toujours au coin de la page ou du chapitre… La Société des Gens de Lettres lui a attribué la Bourse Thyde Monnier pour cet ouvrage. Si l’humour de l’auteur ne manque pas de faire souvent sourire, on peut toutefois regretter, qu’à force de vouloir trop en faire, ces cocasseries et pirouettes finissent par sonner faux voire lasser…
Des nouvelles cousues de Plumes et dentelles : David Foenkinos, Serge Joncour, Jessica L. Nelson, Hélèna Villovitch
Huit écrivains ont reçu chacun une parure différente de Chantal Thomass dans une boîte en forme de coeur rose et noir. Thomas Bouvatier, Geneviève Brisac, David Foenkinos, Serge Joncour, Jessica L. Nelson, Gonzague Saint Bris, Yves Simon, Hélèna Villovitch se sont prêtés au jeu et ont déployé tout leur talent dans l’écriture d’une nouvelle.
Conseils d’écriture de David Foenkinos : « Ecrire, ça veut dire s’acharner »
Depuis près de 15 ans, David Foenkinos, l’auteur de Charlotte (vendu à près d’un demi-million d’exemplaires, prix Renaudoit et prix Goncourt des lycéens), trace son sillon, passant avec un succès croissant du registre loufoque/absurde à l’intimiste ou le tragique, mais aussi derrière la caméra à l’occasion avec son frère directeur de casting (cf: l’adaptaion d’un autre de ses succès La Délicatesse en 2011). Ecrivain prolifique, toujours un livre en tête, il livre les coulisses de sa routine d’écriture, ses débuts dans l’édition et sa vision de l’écriture romanesque