La jeunesse dorée du XVIe arrondissement parisien n’en finit pas d’engendrer des vocations littéraires. Plus ou moins réussies.
Après Lolita Pille, qui a ouvert les hostilités, on parlait beaucoup l’an passé de Thibault de Montaigu (« Les anges brûlent »). Récemment un DVD retraçait comme autant de flashs de strass les destinées de ces jeunes flambeurs(ses) tout en baptisant cette jeunesse dorée de « Nappy » (fusion d’happy et et « no nappy »).
Une génération qui n’en finit pas de déplorer son statut de « pauvres gosses de riches »… Entre malaise existentiel et excès en tout genre, arrogance non assumée et fragilité. La rentrée littéraire 2004 a accouché d’un nouveau spécimen : Gaspard Koenig dont le roman vient de sortir en poche en janvier 2006. On prend les mêmes et on recommence ? Pas tout à fait.
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