De JK Rowling mère de la saga Harry Potter et autres dérivés à Twilight, Hunger games ou Divergent, les romancières anglo-américaines se taillent la part du lion sur ce marché porteur de la littérature ado et jeunes adultes. Pourtant ces histoires fantastiques et autres dystopies, particulièrement quand le personnage central est une héroïne, sont souvent réduites à de la littérature commerciale facile sans intérêt littéraire, voire médiocre dont il faudrait même tenir éloignés les jeunes… Dans sa tribune au site Bustle*, la jeune auteur américaine de romans ados à succès (la trilogie Délirium, Before I fall/ »Le dernier jour de ta vie », etc.), Lauren Oliver
Bâtir une intrigue efficace et des personnages forts : conseils d’écriture de Lauren Oliver (Before I fall, Delirium, etc., romans « Young adult »)
Lauren Oliver fait partie de cette nouvelle génération d’auteurs de romans ados dits « young adult » selon l’appellation anglo-saxonne capable de produire des best-sellers à la chaîne avec des univers semi-fantastiques dystopiques et de jeunes héroïnes souvent lycéennes confrontées à diverses épreuves et leçons de vie. Aux côtés de Suzanne Collins (The Hunger Games) et de Veronica Roth (Divergent), elle truste le palmarès des best-sellers du New York Times.