A l’occasion d’une interview pour un autre support, j’ai été amenée à lire le troisième roman d’un jeune auteur de 33 ans encore méconnu (à tort ou à raison ? je vous en laisserais seul(e) juge) : « Les habitants » de Mano (de son vrai nom Manolis Mavropoulos). Publié dans la collection « La Fouine » (créée en 2003/2004) chez Hachette Littérature (qui a entre autres édité l’excellent « Do you like your job ? » de Charles Guérin Surville ou encore la best-seller Faïza Guène auteur de « Kiffe-kiffe demain »), il s’inscrit dans cette lignée de romans enracinés « dans la réalité du monde d’aujourd’hui », « une littérature réaliste, sociale et documentaire, dans la lignée des grands romanciers du XIXe siècle français, mais aussi des auteurs russes comme Dostoïevski », « une manière littéraire de rendre sensible les enjeux de l’époque », comme l’expliquent ses éditeurs et fondateurs Charles Pépin et Guillaume Allary. Une ligne éditoriale qui ne peut que faire envie même s’il est parfois difficile de faire preuve d’originalité comme le démontre ce roman de Mano…
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