Avant de raccrocher sa casquette d’éditeur (et de faire son coming out dans le magazine « Lire »), Frédéric Beigbeder a eu le temps de commettre un dernier « coup », avec la publication du premier roman de Philippe Pollet-Villard, réalisateur de profession. « L’homme qui marchait avec une balle dans la tête », titre qui ne peut qu’aiguiser la curiosité dans la même veine de celui de Bernie Bonvoisin (« Chaque homme a la capacité d’être un bourreau… ou au moins son complice« ), relate la cavale poético-comique d’un « petit voyou » qui cherche un souffle et un sens au monde qui l’entoure. Ce sera étrangement ce plomb (qu’il ne pètera finalement pas), logé dans sa tête qui lui fera aborder la vie sous un nouveau jour… Un petit résumé de cet ovni littéraire, bien frappé, de la rentrée. Entre gravité et cocasserie :
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