Dans une interview de mars 2016, Alain Mabanckou livre une intéressante analyse de l’évolution dans les années 90 puis 2000 de la littérature dite de la « négritude » alors que les écrivains émigrent en Europe et posent alors un regard nouveau sur l’Afrique et la société française, lié à l’éloignement, mais refuse d’y voir une volonté de cantonnement mais au contraire d’élargissement:
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