Avec ses 23000 exemplaires écoulés en 2 mois de « Mes illusions donnent sur la cour », Sacha Sperling a donc de quoi se réjouir doublement. En effet de nos jours, il est très difficile pour un premier roman d’émerger. Alors qu’il y a encore quelques décennies, un auteur inconnu pouvait espérer vendre quelques 3000 exemplaires, ce chiffre a été divisé par 5 pour descendre à 500… Sperling revient sur le succès de son roman ellisien « Mes illusions donnent sur la cour » que nous vous recommandions lors de la rentrée de septembre 2009 :
Auteur : Sacha Sperling
Interview Sacha Sperling: « Un écrivain c’est quelqu’un qui trouve qu’il y a un truc dans le monde qui ne va pas, quelque chose d’absurde. »
Le premier roman « Mes illusions donnent sur la cour » de Sacha Sperling a créé l’évènement de la rentrée littéraire 2009 et a été salué par la critique et le public en dépit des suspicions quant à son statut de « fils de » et de son genre littéraire (i.e la jeunesse dorée parisienne » devenu un peu galvadué …
Mes illusions donnent sur la cour de Sacha Sperling : la jeunesse dorée racontée, pas si en toc…
Avec « Mes illusions donnent sur la cour », il semble que le « flambeau » du créneau « jeunesse dorée désespérée » soit repris par un auteur prometteur: Sacha Sperling, coup de cœur de Frédéric Beigbeder qui voit en lui un énième « Bonjour tristesse ». La jeunesse dorée parisienne ou américaine est devenue ces dernières années un sujet en or (ha ha). De Bret Easton Ellis à Nick Mc Donell jusqu’à Gossip girl ou de Lolita Pille à Thibault de Montaigu pour les plus connus, les malheurs existentiels des pauvres enfants de riches (les « nappys » comme ils ont été surnommés à l’époque, contraction d’happy et no happy) font recette et passionnent les lecteurs.
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