Chroniqueur littéraire au » Grand Journal » de Canal Plus, éditeur chez Flammarion et écrivain, Frédéric Beigbeder fêtait en 2005 ses 40 ans tout en s’apprêtant à porter à l’écran » L’amour dure trois ans « , l’un de ses premiers romans.
Interrogé par le journal Infra-rouge, le journal de l’actualité et des loisirs noctures à Paris, il revient sur sa première cuite, son premier passage télé (qui remonte tout de même à l’âge de 10 ans !), son premier slogan (pour Nova) du temps de ses années pub, ses premières dédicaces (pour son premier roman : « Mémoires d’un jeune homme dérangé », qui n’attirait, alors, pas les foules aux salons…), le premier roman qu’il a publié en tant qu’éditeur chez Flammarion (« Une fièvre impossible à négocier » de Lola Lafon, depuis il en a édité environ 25 dont Pierre Mérot et Paul Jimenes) et enfin premières fâcheries (avec les écrivains dont il critique les livres notamment, à l’image de Christine Orban l’une des premières, mais aussi par la suite, Marc Lévy qui est l’un des plus gentlemans « puisqu’il continue à lui serrer la main alors que d’autres quittent la pièce en le voyant. »
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