Ousmane Ballo est né en Côte d’ivoire. L’auteur vit en France depuis 2001. Sa passion pour l’écriture de romans est née de la lecture de grands auteurs dont Charles Baudelaire (« Les fleurs du mal »), Ernest Hemingway (« Le vieil homme et la mer »), Sembene Ousmane dans « Les bouts de bois de Dieu » et bien d’autres grands …
Tribune libre : Objectif visibilité !
Cette rubrique vous est réservée que vous soyez jeune auteur, éditeur ou professionnel de l'édition afin de partager vos livres ou faire connaître votre travail/activité/évènements littéraire. N'hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus pour communiquer sur Buzz littéraire: (mode d'emploi par ici) !
Le COVID de l’apocalypse de Philippe Granarolo : les auteurs se présentent
Professeur de philosophie, Philippe Granarolo a publié depuis 1993 une douzaine d’ouvrages spécialisés. Il y a trois ans, il décide d’abandonner l’écriture philosophique pour se consacrer à l’écriture romanesque. C’est le premier confinement de mars 2020 qui lui inspire son premier opus Le COVID de l’apocalypse, paru en mai 2021 aux éditions Librinova. Il s’agit …
Récit insolite d’une jeunesse ordinaire de Jacques Pezzana et Julien Gilles: les auteurs se présentent
Initialement sous forme d’un scénario que les auteurs qualifient de « délire d’adolescents », Récit insolite d’une jeunesse ordinaire, version roman à quatre mains, a vu le jour en plein confinement 2020 ayant permis de le rendre plus mature et de développer son côté rocambolesque. Résultat : une autobiographie caricaturale de leur jeunesse festive dans les années …
Ambre Kalène, auteur de « Incarnata mène l’enquête » : les auteurs se présentent
A 62 ans, Ambre Kalène nous offre son premier roman, paru en 2019, « Incarnata mène l’enquête », un thriller métaphysique mettant en lumière les motivations personnelles de gens ordinaires, et leur capacité à accepter l’impensable, dés l’instant où il leur permet de continuer leur chemin dans le Paris contemporain. Rôdée à l’écriture d’ouvrages sur la santé …
« La fondation Popa » de Louis-Stéphane Ulysse : Les auteurs se présentent
Avec un peu de retard, voici la Tribune libre adressée par l’écrivain Louis-Stéphane Ulysse sur son roman « La fondation Popa » paru en février 2007 aux éditions Panama. Un roman wharolien sous forme d’une épopée surréaliste, burlesque voire satirique du monde de l’art contemporain, mais aussi une réflexion sur la création, la mémoire et la transmission… (sur le même thème on pourra également consulter le roman d’Adrienne Miller, « Fergus ») : « La Fondation Popa est mon septième roman. Difficile pour moi, même aujourd’hui, d’en parler détaché. Je peux donner quelques pistes même si je n’aime pas trop argumenter sur mon travail… Je crois que j’écris des romans comme si je faisais des albums concept ou des films. De l’autre côté de la baie, mon roman précédent, était la périphérie d’une passion, ses détails, ses « à côté », les fragments qu’il en reste après… Je crois que c’était déjà un travail en creux, sur les mots fantômes, les blancs, l’espace…
Les auteurs se présentent : « Romanesque 2.0 » d’Olivier Las Vergnas
Olivier Las Vergnas, directeur de la Cité des métiers à la Cité des sciences nous a écrit (avant les élections) pour vous présenter son premier roman, à la fois politique fiction et policier, intitulé « Romanesque 2.0 », publié chez Le passager clandestin, une toute jeune maison d’édition qui se qualifie « d’indépendante, curieuse, parfois polémique, toujours engagée et citoyenne ». Il imagine un logiciel révolutionnaire d’aide à l’écriture avec lequel n’importe qui peut devenir romancier en une nuit. Un thème qui n’est pas sans rappeler celui du roman de Philippe Vasset intitulé « Exemplaire de démonstration« . Mais parole à l’auteur : « Sans doute ne devrais-je pas me lancer dans la publication d’un premier roman à mon âge (voir mon site perso à http://enviedesavoir.org)… D’autant que j’ai déjà concrétisé plusieurs « créations », comme « Les nuits des étoiles » tous les étés, « les Cités des métiers » à La Villette et ailleurs dans le monde, des séries documentaires TV, comme « Le temps des souris »… J’aurai dû en rester là et ne pas m’exposer plus encore, surtout dans un monde aussi difficile à pénétrer que celui de l’édition romanesque.
Les auteurs se présentent : « Shoot again » de Vincent Bernière
Vincent Bernière est journaliste (Technikart, Beaux Arts, France Culture, Double), éditeur de BD pour les éditions du Seuil, et créateur du magazine « Bang », Shoot again est son premier roman inspiré de ses années universitaires baignées par le son des Dirk Polak, Polyphonic Size, Wall of Voodoo, Lili, Drop, Tuxedomoon… et surtout l’enfer de la drogue : sa descente désespérée dans un univers de plus en plus autiste où plus rien n’existait sinon la musique. « Un procès-verbal glaçant et fascinant », selon son éditeur les éditions du Panama. Il vous livre sa tribune libre originale sous forme d’une mini-nouvelle qui vous plonge, avec humour, aux prémices de cette aventure :
Les auteurs se présentent : « Le Reniement de Patrick Treboc » par Harold Cobert
Harold Cobert vient de publier un étonnant roman entre thriller et réflexion générationnelle qui ne manquera pas de piquer votre curiosité. Il vous livre sa tribune libre et partage ainsi sa vision de la littérature dite des trentenaires avec une analyse qui n’est pas étrangère à celle développée précédemment en ces lieux… A noter que l’auteur sera ravi de vous rencontrer demain (23 mars) au Salon du livre, de 17h30 à 19h, pour une séance de dédicaces au stand Lattès. Mais laissons la parole à l’auteur : « Bonjour à toute la communauté du Buzz littéraire. Je suis né en 1974, à Bordeaux, j’appartiens à cette étrange catégorie que sont les trentenaires. Le Reniement de Patrick Treboc est mon premier roman. Il met en scène un trentenaire, Patrick Treboc, qui est devenu malgré lui un petit prof dans un petit lycée technique d’une banlieue de province. Plus jeune, il rêvait d’écrire, mais, monté à Paris, il s’est fait balader de faux espoirs en désillusions. Jusqu’au moment où un trio influent l’avait pris sous son aile avant de lui fermer toutes les portes qu’il avait réussi à entrouvrir.
Les auteurs se présentent : « En route vers le clochard » de Norbert Balcon
Norbert Balcon est un jeune auteur de 28 ans qui publie son premier roman dans une non moins jeune maison d’édition l’Altiplano. Il nous a écrit pour présenter et faire connaître son travail. A noter que cet auteur sera également présent au Salon du livre les 24 et 25 mars. Allez lui rendre une petite visite ! : « Je vais publier au mois de mars mon premier roman, qui s’intitule En route vers le clochard. Ce n’est sans doute pas moi la personne la mieux indiquée pour en parler. Quelques informations techniques simplement : En route vers le clochard est écrit à la première personne. Le narrateur, 25 ans, raconte son hospitalisation dans un service psychiatrique.
Les auteurs se présentent : « J’te plaque, ma sclérose » d’Arnaud Gautelier
Arnaud Gautelier nous a écrit pour vous présenter son « témoignage coloré sur une maladie sombre ». Il vient de nous prévenir que samedi 17 mars (demain) à l’occasion de la journée nationale sur les maladies du cerveau, son livre sera présenté au JT de TF1 (Claire Chazal) : « Bonjour, je me présente : Arnaud Gautelier, 30 ans, je suis atteint d’une Sclérose en Plaques depuis 8 ans. Mon principal métier est Directeur Artistique (10 ans en agence de pub). Je vis presque normalement, j’ai une femme et petite fille de 15 mois. J’aimerais vous faire connaître un livre dont je suis l’auteur. « J’te plaque, ma sclérose », aux éditions Philippe Rey. C’est mon premier ouvrage.
Les auteurs se présentent : « Eden-sur-Seine » d’Olivier Berthelot
Olivier Berthelot auteur d’un premier roman dans la veine des « politique fictions » très en vogue actuellement, aux éditions Punctum, nous a écrit pour se présenter à vous : « Bonjour, jeune auteur (au sens du buzz, Eden-sur-Seine est un premier roman), je vous invite à découvrir ce qu’un blog (100di) a qualifié d’« O.L.N.I. », (Objet Littéraire Non Identifié). Qu’en est-il exactement ? On peut avoir différentes lectures de ce roman que je pourrai qualifier de « roman d’amour, politique, féministe et pornographique ».
Les auteurs se présentent : « Pomme Q » d’Emilie Stone
Emilie Stone, auteur d’un premier roman, Pomme Q, paru en cette rentrée littéraire de janvier aux éditions Michalon, nous présente la genèse et l’histoire de son étonnant autoportrait ou autobiographie… d’un ordinateur (Mac donc), à travers son journal intime ! « Une farce originale, drôle et enlevée » selon le blog Lignes de fuite et « un livre qui se veut un manifeste contre la génération du tout numérique » pour Culture Café. Laissons la parole à l’auteur : « La grande différence entre la vie et celle de tous nos ancêtres, c’est l’ordinateur et la place qu’il est entrain de prendre dans notre vie. Cette machine est en train de tout bouleverser : notre façon de nous informer, de travailler et d’entretenir les liens entre humains. Et nous dans tous ça, évoluons-nous vraiment ? Quelle forme nos vies prennent-elles depuis que les écrans sont omniprésents ?
La Cité des Amants perdus de Nadeem Aslam: Coup de coeur des lecteurs
Annie, 54 ans, bibliothécaire en Touraine partage sa lecture enthousiaste de « La Cité des Amants perdus » de Nadeem Aslam (que l’auteur a mis 11 ans à écrire !), une tragédie sur fond de tradition islamique pakistanaine au Nord de l’Angleterre d’aujourd’hui : « J’ai beaucoup aimé « La Cité des Amants perdus » de Nadeem Aslam paru au Seuil début 2006. Le lent déroulement des saisons soutient l’histoire d’une famille pakistanaise emblématique qui vit dans une ville du nord de l’Angleterre, avec, en toile de fond la disparition énigmatique de Jugnu, entomologiste de son Etat et de sa compagne Chanda qui vivaient en couple sans être mariés.
Coup de coeur éditrice : « Les petites morsures » d’Aurore Guitry, par Elodie Mandel (Calmann Lévy)
Dans le cadre de la rubrique Tribune libre, le Buzz littéraire donne la parole à une jeune éditrice : Elodie Mandel chez Calmann Lévy nous a écrit pour partager son coup de coeur pour le premier roman qu’elle publie, d’une jeune auteure au patronyme remarquable… Une première pour les deux jeunes femmes !
« Une fois n’est pas coûtume, même si je ne suis pas attachée de presse, je prends ma souris pour vous faire partager mon coup d’oeil littéraire pour le premier roman d’Aurore Guitry (photo ci-contre)… Parfois, il est bon que les éditeurs se mouillent… Surtout quand on essaie de se faire remarquer parmi les 400 et quelques romans de janvier !
Les auteurs se présentent : William Pierre (Samedi soir un DJ m’a sauvé la vie)
Nous inaugurons la nouvelle rubrique « Tribune libre » avec un jeune auteur, passionné de musique (The Carpenters, 2Pac, Donna Summer, MC5, The Neptunes, Prince, Leonard Cohen…) qui nous a écrit pour se présenter : William Pierre, auteur de « Samedi soir un DJ m’a sauvé la vie ». Il nous fait savoir qu’il sera de plus l’invité cet après-midi de l’émission de Tewfik Hakem, Le Choix des livres, sur France Culture.
« Bonjour,
Je m’appelle William Pierre, j’ai 30 ans. Samedi soir un DJ m’a sauvé la vie est mon premier roman, aux éditions Françoise Truffaut, trouvable dans toutes les bonnes librairies, paru en octobre 2006. J’ai fait une rencontre fin octobre à la librairie EN MARGE à Paris sous forme d’une lecture avec extraits musicaux (car le livre parle beaucoup de musique). Le 23 novembre, j’ai été l’invité de l’émission « Le Choix des Livres » sur France Culture.
Coup de coeur lecteur : Le Poids d’une âme de Mabrouck Rachedi
Chronique adressée par Bruno Durand, 28 ans : Je vous envoie ci-après mon impression sur le livre de Mabrouck Rachedi, « Le poids d’une âme », publié aux éditions Jean-Claude Lattès lors de la rentrée 2006. Comme vous pourrez le constater, je suis très enthousiaste ! Vous devriez découvrir et faire découvrir ce jeune auteur !
Les auteurs se présentent : Jonathan Ouaknine
Nous publions la présentation et message de Jonathan Ouaknine alias Joest : Cela fait plusieurs mois que j’ai découvert votre site et j’y poste régulièrement. Je suis un auteur wanabee de bientôt 28 ans. Depuis une douzaine d’année, j’écris. Actuellement, je mène une double-vie: le jour je suis simple acheteur de composants et le soir, je tape frénétiquement des histoires. Dans une précédente entreprise, j’avais eu la mauvaise idée de dire que j’écrivais et immédiatement, mes collègues ne me parlaient plus, par jalousie. Désormais, je tais mes activités nocturnes.
Coup de coeur lectrice : « Veiller tard » de Véronique Beraud de Calignon
Anne-Laure Bovéron, critique littéraire pour le magazine Muze, a choisi de partager son coup de coeur pour ce premier roman écrit à l’âge de 17 ans, un hymne à la vie tumultueux, d’une grande humanité, d’une profondeur et d’une sensibilité sincère. Dix ans plus tard, elle le publie enfin, poussée par ses amis. Dix ans, et pas une ride ! La qualité du texte et la justesse des sentiments nont pas vieilli, ni perdu de leurs superbes et de leurs vérités. Un livre intimiste, pudique, contemporain, pur et violent. Tant au point de vue des expériences, des rencontres, des obstacles que de la réalité de la vie quil dépeint. Des émotions vraies, cruellement palpable, vécues que connaissent ceux qui franchissent avec fracas la frontière invisible entre l’adolescence et l’âge adulte. La finesse des caractères des protagonistes, la splendeur simple des paysages marins, des scènes urbaines et du quotidien embellissent ce récit envoûtant. L’écrivain, lectrice insatiable, a su nourrir son roman de la beauté indicible des sentiments. Les romans sur le passage des âges, de l’enfance à l’adolescence, de l’adolescence à l’âge adulte, ne manquent pas. Mais celui-ci se démarque. Singularité et puissance des mots. Un auteur à suivre donc. En attendant, vive nos nuits trop claires pour ne plus lâcher ces lignes !
SONDAGE : Les prix littéraires ça vous chatouille ou ça vous gratouille ?
Depuis quelques semaines, ils monopolisent l’attention (des médias en tout cas) et font l’objet de pronostics, calculs et autres spéculations. Qui ? Les prix littéraires bien sûr ! Un marathon auquel se livrent chaque année les éditeurs et leurs poulains du moment. Plus de 3 000 prix littéraires sont décernés en France et entre 500 000 et un million de Français achètent un livre couronné par l’un des six grands jurys – Goncourt, Renaudot, Femina, Académie française, Médicis ou Interallié, selon le Figaro (qui propose aussi des idées pour les réformer et les rendre plus transparents et plus justes…). Ils alimentent les petites polémiques habituelles (comme le récent « scandale » Desforges/Chapsal pour le Femina ) qui finalement intéressent plus que le livre de la lauréate (Lignes de faille de Nancy Huston ). Car c’est bien ce qui me gêne dans tout ce cirque : les stratégies (les magouilles dénoncées de toute part) semblent davantage passionner que les textes des auteurs eux-mêmes. Quant à l’utilité de ces dits prix, j’avoue ne leur accorder guère d’attention…
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