Virginie Despentes crée une maison d’édition orientée sur la « culture queer et féministe » dénommée: « La Légende Editions« . Ligne éditoriale revendiquée : « promouvoir la représentation et la visibilité de la culture queer« , au travers de la création d’un collectif de recherche, de défense, d’archivage et de diffusion. Cette dernière englobe les identités de genre et orientations sexuelles minoritaires, non binaires.
Cette démarche s’inscrit dans la continuité de son œuvre de romancière qui a régulièrement mis en scène cette communauté et de ses prises de position régulières (comme son fameux article saluant la sortie de l’actrice Adèle Haenel aux Césars 2020 en protestation contre Polanski « Désormais on se lève et on se barre« ).
Les ouvrages publiés seront donc “en lien avec les enjeux sociétaux de la culture queer, les analyses féministes, l’étude du genre, travaillant à la déconstruction des stéréotypes de genre, et la lutte contre le sexisme”, a détaillé l’auteur de du manifeste féministe King King Théorie à Livres Hebdo. L’objectif étant d’oeuvrer « à la déconstruction des stéréotypes de genre, et la lutte contre le sexisme« , selon la même source.
En collaboration avec la photographe et vidéaste Axelle Le Dauphin, elles visent la parution d’une dizaine de titres par an. Le premier retracera l’histoire du Pulp, ancienne mythique discothèque lesbienne parisienne.
1 Commentaire
Délire identitaire d’une crypto fasciste (au même titre qu’Arnaux). Le néo féminisme est un anti féminisme et le mouvement LGBT n’a rien à voir avec la lutte contre l’homophobie : c’est une mouvance identitairen